Biarritz

Le succès touristique de Biarritz s’appuie sur un double héritage: la station balnéaire du couple impérial Eugénie et Napoléon III et la capitale européenne du surf.

Une des plus anciennes stations balnéaires françaises

L’histoire touristique de Biarritz ne commence pas sous le Second Empire (1852-1870). Lorsque Victor Hugo (2014) découvre la ville en 1843, lors de son voyage en Pays Basque en compagnie de Juliette Drouet, il est séduit par la coexistence d’un lieu regroupant environ 1500 individus et une nature jugée primitive et il craint sa transformation rapide sous l’action de l’argent: «alors Biarritz ne sera plus Biarritz. Ce sera quelque chose de décoloré et de bâtard comme Dieppe et Ostende.»

«Biaris est recommandé pour les bains de mer, effectivement on ne peut les prendre nulle part plus commodément.»

Malesherbes, 1767

Les bains de mer sont réputés pour leurs qualités thérapeutiques dès le milieu du 18e siècle. En 1765, le subdélégué de Bayonne ordonne d’aménager des portions de chemins car des «personnes de qualité» doivent venir prendre des bains de mer (Gibert, 2014: p. 16). En 1767, Malesherbes écrit que «Biaris est recommandé pour les bains de mer, effectivement on ne peut les prendre nulle part plus commodément.» (Puyau, 2009: p. 26-27) Le déclin de l’activité maritime – en particulier la pêche à la baleine – se trouve compensé par l’essor de cette nouvelle activité balnéaire. Des projets de construction de baraques sur la plage sont formulés en 1784 par un charpentier de la ville mais sans obtenir l’aval des autorités municipales.

Dans les années 1820, alors que l’occupation anglaise a contribué à faire connaître le site durant les guerres napoléoniennes, le conseil municipal est plus soucieux des commodités et des agréments pour les baigneurs. L’accès à la plage de Port-Vieux reste encore difficile et les aménagements sommaires.

Pour mettre de l’ordre à un développement sans doute devenu anarchique, la municipalité décide, en 1832, de percevoir une taxe sur chaque tente établie par des particuliers au Vieux Port. En 1837, un arrêté municipal oblige les baigneurs à se déshabiller dans des baraques. Les marins de Biarritz se lancent alors dans le commerce des guérites et des tentes ou dans le sauvetage au profit des établissements de bains de mer (Puyau, 2009: p. 121-124). Les Espagnols découvrent ces plages au moment de la guerre civile (1835) et de l’émigration des carlistes (1839), à l’instar de la comtesse Eugénie de Montijo qui s’y réfugie avec sa famille, délaissant les plages de San Sebastian.

En 1852, le docteur Affre publie la première édition de son Manuel des baigneurs, avec tous les renseignements utiles aux étrangers sur «Biarrits».

L’intrusion du couple impérial Eugénie et Napoléon III

Le couple impérial fait construire la villa Eugénie en 1855-1856 par les architectes Durand. D’une architecture trop proche du collège scolaire ou de la caserne, elle est reconstruite en 1857: sa façade de briques rouges et de parements de pierre de 40 mètres de long domine la mer d’une dizaine de mètres. Deux ailes encadrent une cour tournée du côté de la ville (Ill. 1). Napoléon III et Eugénie passent tous leurs étés dans cette villa, accompagnés d’une cour de privilégiés, jusqu’en 1868.

Dessin de la villa Eugénie (19e siècle)

Ill. 1. La villa Eugénie dessinée par Hubert Clerget (1818-1899) (coll. BNF)

La venue du couple impérial est facilitée par l’ouverture de la ligne de chemin de fer à Bayonne. En 1857, la Compagnie des chemins de fer du Midi décide de prolonger la voie de Bayonne à Hendaye. La vie des souverains à Biarritz est simple et sans étiquette. Les premières personnalités politiques étrangères arrivent à partir de 1857 (roi des Belges en 1859, cinq visites de Bismarck à partir de 1862…).

L’urbanisation du front de mer se poursuit. Des villas (le terme est utilisé à Biarritz à partir de 1841) et plus souvent des chalets se multiplient, dont un certain nombre est destiné à la location aux touristes. Le tourisme à Biarritz est toutefois avant tout un tourisme hôtelier, avec des entreprises généralement d’origine familiale. La hauteur des maisons reste modeste durant tout le 19e siècle, puisque les résidences ayant trois étages comptent pour moins de 1% de l’ensemble sous le Second Empire (Puyau, 2009: p. 31).

La station balnéaire se pare d’équipements jugés nécessaires. Le Casino Bellevue ouvre en 1857. Les Bains Napoléon, de style mauresque, surmontés de deux coupoles, sont construits par la municipalité en 1858: 166 cabines sont mises à disposition des baigneurs (Ill. 2).

Dessin du casino et de la plage (19e siècle)

Ill. 2. Plage de Biarritz, avec le casino et les bains, dessinée par Hubert Clerget (1818-1899) (coll. BNF)

Le Second Empire prend fin après la défaite française lors de la guerre avec la Prusse, en 1870. Malgré les dispositions testamentaires, Eugénie refuse de vivre à Biarritz mais son absence n’obère pas le développement balnéaire de la station.

Une station attractive

Après l’épisode favorable du Second Empire, Biarritz souffre de la concurrence d’autres stations balnéaires qui se multiplient sur le littoral français, et notamment de l’intérêt estival pour la Méditerranée au 20e siècle, mais la station continue d’attirer la clientèle internationale: des Anglais, des Espagnols, des Russes à partir des années 1890, des Américains à partir des années 1920. La fréquentation touristique continue d’augmenter, de 16.000 visiteurs en 1879 à 40.500 en 1913 (Laborde, 2008: p. 78).

Les aménagements se poursuivent. Un tramway relie Biarritz à Anglet et Bayonne en 1870. Une passerelle métallique sortie des ateliers Eiffel amarre le rocher de la Vierge en 1881. Cet aménagement sert à la constitution d’un port de refuge (désormais disparu), démontrant la complémentarité des aménagements littoraux dans leurs multiples usages.

Une différenciation socio-spatiale intervient à partir de la fin du 19e siècle. Le Biarritz le plus ancien, plus populaire, auquel sont adossés les ports, se densifie par accumulation d’un habitat modeste. Une domination de classe perdure au nord, avec une architecture aux allures de castels dans le lotissement du domaine impérial, constitué à l’emplacement des jardins de la villa Eugénie, et ses environs situés à proximité de la Grande Plage et de l’actuelle plage Miramar (en 1884 dénommée plage du Château). Au sud, la Côte des Basques (pour laquelle on se gardera bien d’utiliser le terme de «plage» pour ce berceau du surf en Europe) connaît une urbanisation plus diffuse, sur le plateau, avec peu de constructions le long du trait de côte (Ill. 3).

Plan de Biarritz fin 19e-début 20e

Ill. 3. Plan de Biarritz et des environs, par E. Ardoin (Plan de la ville et des environs de Biarritz. Echelle 1 / 5.000 e. / 1884 / Bibliothèque Patrimoniale Pau, côte 220067 / www.pireneas.fr). Le plan présente, au nord de la ville, le lotissement « Le domaine de la Villa Eugénie » à ses débuts, aussi surnommé le lotissement du domaine impérial (parcelles numérotées).

Au tournant du 20e siècle, la ville est présentée dans les guides touristiques et les affiches, autant comme une station d’été qu’une station d’hiver, cela au détriment de Pau, sa grande concurrente auprès de la clientèle anglaise. Les Thermes salins ouvrent en 1893. Biarritz est classée comme station balnéaire, climatique, thermale et hydrominérale en 1912.

Une station qui bénéficie des Années folles balnéaires

Biarritz connaît un faste balnéaire dans les années 1920, à l’image des grandes stations balnéaires françaises, comme Deauville, tandis que le tourisme commence à se populariser dans les diverses couches sociales (Ill. 4). L’affluence balnéaire est multipliée par trois durant la décennie.

Carte postale de Biarritz (années 1930)

Ill. 4. Carte postale de la Grande Plage de Biarritz dans l’Entre-deux-guerres (coll. BNF/Archives et bibliothèques Pau Béarn Pyrénées)

La crise de 1929, accentuée par la guerre civile espagnole qui prive la station d’une partie de ses touristes habituels (les relations diplomatiques entre la France et l’Espagne sont arrêtées entre 1936 et 1947), amène le morcellement des grandes propriétés et la fermeture d’hôtels (Hélianthe, La Roseraie…). Comme dans d’autres grandes stations touristiques, les difficultés financières s’accumulent jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.

Dans l’immédiat après-guerre, la station balnéaire souffre de la vétusté de son parc hôtelier. Axé sur la clientèle de luxe, il ne répond plus aux attentes de la clientèle touristique, plus populaire, et qui se tourne vers des sites vantant le Soleil, comme la Côte d’Azur, ou à meilleur marché, comme l’Espagne dans les années 1950. Le Guide Alix de 1950 dédié aux stations balnéaires témoigne de cette spécificité en termes de recrutement social de la population touristique: «Biarritz reçoit à nouveau son ancienne clientèle».

La crise est de courte durée. La construction d’un nouvel aérodrome, en 1954, avec une liaison régulière entre Biarritz et Londres, permet d’attirer à nouveau les grandes personnalités, et en particulier celles du show-biz. La station balnéaire trouve également un nouveau relais de croissance avec l’implantation de la pratique du surf.

L’idée d’excellence perdure jusqu’à nos jours. La réputation de la station en lien avec la période impériale reste intacte, même si le domaine de la Villa Eugénie est rapidement loti depuis la fin du 19e siècle et que la Villa Eugénie, transformée en hôtel (l’Hôtel du Palais), est elle-même reconstruite après un incendie, en 1907. Par exemple, quand Arcachon rêve d’un parcours de golf après la Seconde Guerre mondiale, c’est celui de Biarritz qui lui sert de modèle. Après-guerre, Jean Cocteau tente d’installer à Biarritz un festival du Film concurrent de celui de Cannes, mais sans succès durable. Lors de la première remise de la distinction «palace» en France en 2011, l’Hôtel du Palais est l’un des huit établissements retenus, et le seul existant à ce rang sur la côte atlantique à ce jour (2021). Depuis les années 1950, la pratique du surf joue aussi un rôle important de distinction.

Le surf: renouveau dans la continuité

En France, principal pays par lequel le surf pénètre en Europe, la pratique a initialement lieu sur les plages de la Côte Basque et plus précisément à Biarritz à la fin des années 1950. L’ensemble des ouvrages traitant du surf ou de son histoire relate l’origine du surf en France comme étant issue de la diffusion nord-américaine, à la faveur de Peter Viertel, un écrivain, réalisateur et scénariste californien en vacances à Biarritz en juillet 1957, qui s’essaye sur les vagues biarrotes.

Peter Viertel, d’origine est-allemande, est âgé de 37 ans en 1957. Il jouit d’une notoriété grandissante à Hollywood notamment grâce à ses collaborations avec Alfred Hitchcock. Il est sous contrat pour la Century Fox, lorsqu’il travaille sur le scénario du film Le soleil se lève aussi dont le tournage s’effectue au Pays Basque en 1956.

Entre 1955 et 1958, seule une douzaine de pratiquants sont dénombrés mais ceux-ci codent néanmoins initialement et symboliquement l’activité en France. Les locaux et les «Parisiens en vacances en famille à Biarritz» selon Joël de Rosnay, un des «Tontons Surfeurs», ont socialement structuré le surf à ses débuts.

Né en juin 1937, Joël de Rosnay est originaire de la ville de Curepipe sur l’île Maurice, dont un quartier porte son nom de famille. Il est issu d’un milieu social aisé, habite à l’époque dans le 16e arrondissement de Paris et est habitué dès son plus jeune âge aux voyages à l’étranger. Fortement doté en ressources culturelles (il est titulaire d’un doctorat ès sciences), sociales et symboliques, il est le principal surfeur de cette époque à avoir diffusé la pratique médiatiquement grâce à ses écrits dans la presse locale et les magazines spécialisés.

Le premier club de surf de Biarritz est inauguré en présence des élus locaux qui voient dans le surf une activité sportive à part entière dont les pratiquants se caractérisent par une proximité sociale et culturelle avec les mêmes élus. La moyenne d’âge des membres actifs du club, relativement élevée lors de la création du premier club (31 ans), est un élément qui permet de rompre avec la vision essentialiste des surfeurs, souvent perçus comme «jeunes». Les ressources sociales des premiers pratiquants sont élevées et cosmopolites comme l’atteste la liste des membres d’honneur du «Waikiki Surf Club» en 1959: l’Hawaïen et «légende» du surf Duke Kahanamoku; l’entrepreneur péruvien Carlos Dogny ; puis des notables locaux: Guy Petit, sénateur-maire puis des adjoints, le Marquis d’Arcangues, le président du syndicat d’initiative de Biarritz, le Président de l’Union Sportive de Biarritz, le maire d’Anglet, le président du syndicat d’initiative d’Anglet.

En 1960, le club compte 39 membres actifs dont la plupart des nouveaux adhérents, pas tous pratiquants, sont des connaissances parisiennes de Joël de Rosnay aux ressources sociales élevées (des amis de la famille, des amis golfeurs, etc.). Les week-ends en été sont les moments propices pour faire découvrir l’activité aux estivants qui se pressent par centaines le long de la Grande Plage.

Le quotidien local, La Gazette de Biarritz, commence à évoquer le surf dans ses pages, notamment à l’issue du 20 juillet 1960 où une démonstration est organisée par le club, appuyée par le syndicat d’initiative de Biarritz. Les magazines Elle, Marie-Claire et L’Equipe proposent la même année des reportages sur cette activité «nouvelle» et encore provisoirement «exclusive» à Biarritz. Le surf renforce l’image d’une station aux allures bourgeoises, lieu des sports «à la mode». La rareté et la nouveauté du surf ainsi que les propriétés sociales des pratiquants à l’époque sont les conditions du soutien de la municipalité de Biarritz aux clubs.

Activité gratuite et désintéressée, le surf est pour les surfeurs de Biarritz un moyen d’entretenir et de diversifier un capital social et symbolique déjà important. Le surf est, à cette époque, structuré et mis en forme par un habitus bourgeois dont les représentants sont attachés par conviction aux valeurs du sport défendues plus tôt par l’aristocratie (Guibert, 2007). Ce processus enracine le surf dans une logique sportive et ascétique de type anglo-saxonne. Les premiers surfeurs se trouvent en quelque sorte prédisposés à favoriser le travail d’introduction du surf en France, en particulier à Biarritz.

Aussi, les premiers Championnats de France, gagnés par Joël de Rosnay, ont lieu à Biarritz le 12 septembre 1960 (les parfums «Caron» en sont le sponsor principal) et les premiers Championnats d’Europe en août 1961. En 1964 est organisée la Coupe Patou, sponsorisée par le parfumeur du même nom. La même année, le «Waikiki Surf Club» compte 112 adhérents. Les compétitions se multiplient et les sponsors sont toujours aussi prestigieux comme le confirment les appellations: la Coupe Hermès, le Coupe des Hôtels de Chamonix, la Coupe de la bijouterie Joubert, etc.

Le surf à Biarritz au 21e siècle: une identification territoriale non figée

Plusieurs stations littorales peuvent revendiquer une image surfique comme principe identificatoire, mais seule Biarritz, forte de son historicité dans le champ du surf français, peut communiquer avec succès sur «l’authenticité» – à tout le moins promulguée telle quelle par les municipalités successives –, ressource rare dans l’espace concurrentiel des villes de surf.

Toutefois, sur le temps long, de l’apparition du surf à Biarritz à la fin des années 1950 jusqu’à aujourd’hui, les identifications ont été soumises à des variations et des recompositions qui renforcent l’analyse selon laquelle la relation de Biarritz au surf est non linéaire. Ainsi, le «Biarritz Surf Master», compétition professionnelle dans les années 1980, puis le «Biarritz Surf Festival» dans les années 1990, manifestation où la «culture» légitime du surf (polynésienne) et l’histoire locale de ce sport y sont valorisées, ont fait place à la mise en musée («muséalisation») et à la patrimonialisation de ce sport.

Des événements plus ou moins éphémères marquent ou ont marqué cette volonté politique affirmée du recours à «l’éternel hier». En 2007 a été organisé «Surfing Biarritz, 50 ans de surf» pour manifester l’arrivée du surf dans la station balnéaire en 1957 (Ill. 5), tandis que des expositions et de nombreuses manifestations sportives et culturelles ont été organisées en 2017 pour les 60 ans du surf dans la commune. Le musée dénommé la «Cité de l’Océan et du Surf» a été inauguré en 2011, une étape des Championnats du monde de longboard féminin est organisée chaque été ou encore le «Marché International d’Art Consacré au Surf», galerie marchande estivale d’œuvres d’art uniquement dédiées au surf est proposé aux amateurs d’arts dont plusieurs éditions ont été assurées dans les années 2000 et 2010.

Affiche 60 ans de surf

Ill. 5. Affiche du 60e anniversaire de l’arrivée du surf à Biarritz (coll. Christophe Guibert)

Ces manifestations, en ayant recours à des faits et un imaginaire liés au passé, structurent ainsi l’espace du surf à Biarritz de manière différenciée de celle en vigueur dans d’autres communes aquitaines (Lacanau, Hossegor, Seignosse, etc.) au sein desquelles les compétitions professionnelles constituent la principale source d’identification territoriale. Des événements extérieurs à l’histoire locale sont prétextes à la patrimonialisation du surf dans la commune, telle cette manifestation de juillet 2021 (Ill. 6) en l’honneur d’un surfeur californien, Greg Noll, pionnier du surf de grosses vagues dans les années 1950 et 1960 à Hawaii et décédé en juin de la même année.

Les Tontons surfeurs rendant hommage à Greg Noll en 2021

Ill. 6. Photographie de la cérémonie d’hommage à Greg Noll, 31 juillet 2021, Plage de la Côte des Basques, en présence des derniers « Tontons surfeurs » (cl. C. Guibert)

En s’appuyant sur une double «tradition» distinctive – «prestige» du patrimoine de l’époque impériale, «authenticité» de la pratique du surf – qui insuffle un certain art de vivre, la destination de Biarritz est clairement identifiée par les touristes en quête d’histoire et/ou de pratique sportive sur le bord de mer.

Christophe GUIBERT et Johan VINCENT

Bibliographie

  • Chadefaud Michel, 1988, Aux origines du tourisme dans les pays de l’Adour. Pau, Université de Pau.
  • Daney Charles, 2020, Petite histoire du tourisme sur la côte d’Argent. Morlaàs, Cairn.
  • Gibert Émile, 2014, Le patrimoine bâti de Biarritz issu du développement balnéaire de la ville: protection et mise en valeur. Travail d’étude et de recherche, Université de Pau et des Pays de l’Adour.
  • Guibert Christophe, 2007, «Le premier âge du surf en France: un sport socialement sélectif», Movement & Sport Sciences. vol. 61, n°2, p. 89-100.
  • Guibert Christophe, 2014, «Biarritz et le surf: une identification territoriale non figée», dans Bessy Olivier (dir.), L’innovation dans l’événementiel sportif. De l’attractivité touristique au développement territorial. Voiron, Presses universitaires du sport, n°81, p. 187-193.
  • Hugo Victor, 2014, Voyage vers les Pyrénées, suivi de Juliette Drouet aux Pyrénées: journal inédit de son voyage en 1843. Morlaàs, Cairn.
  • Laborde Pierre, 2001, Histoire du tourisme sur la côte basque: 1830-1930. Biarritz, Atlantica.
  • Laborde Pierre, 2008, Biarritz, huit siècles d’histoire, 250 ans de bains de mer. Biarritz, Atlantica.
  • Puyau Alain, 2009, Croissance urbaine et politique municipale: l’image de Biarritz, station balnéaire (1831-1929). Thèse de doctorat en Histoire, Université de Bordeaux III-Michel de Montaigne, sous la dir. de Josette Pontet, 2 vol.